Tables rondes, entretiens, projection et exposition permettront de réfléchir aux questions que pose l’écriture de l’histoire de la nature dans toutes ses dimensions, et la manière dont elle éclaire les enjeux contemporains : marchandisation de la nature, biotechnologie, menace et ressources naturelles, frontière entre humain et non humains, …
Les échanges chercheront à mettre en lumière l’évolution des sensibilités, au cours des époques et selon les espaces, et risquent de remettre ainsi en question quelques fausses évidences sur le rapport des êtres humains à la nature. Un rapport que la pandémie en cours interroge plus que jamais.
Le programme de cette année n’a pas été fait selon une logique qui hiérarchiserait les événements, mais de manière à varier les thématiques, les formats (tables rondes, conférences, projection, exposition) et les types d’activités.
Image : Alexander de Humboldt peint par Friedrich Georg Weitsch, 1806 + planche de botanique issue d’un ouvrage de Martin Frobenius Ledermüller, Wirsing, Nuremberg, 1764 (Crédits : Gallica BnF).
ainsi que les étudiants : Quentin Bourgault, Malou Bozec , Agathe Cavalière, Anaïs Chazel, Edwin Collard, Marie Delarasse, Stéphanie Gadat, Camille Hamon, Domitille Haushalter, Auriane Hernandez, Anouck Martin, Clémentine Martinez-Pérez, Ewa Merlan, Luca Nelson-Gabin, Lia Paupière, Coline Perron, Titouan Robin, Francesco Zambonin.
Si la situation sanitaire le permet, la Semaine de l’Histoire se déroulera à l’École Normale Supérieure, 45 rue d’Ulm, 75005 Paris (RER B, Luxembourg). Entrée libre dans la limite des places disponibles et dans le respect des règles sanitaires.
Les conférences sont également diffusées en vidéo sur ce site.