Il a fondé the DISSIDENT club, un bar à Paris où les artistes et journalistes dissidents du monde entier se rencontrent. Il est aussi enseignant à SciencesPo Paris et continue d’écrire pour plusieurs journaux internationaux. Au Pakistan, il a été correspondant pour plusieurs médias internationaux dont le New York Times, le Guardian et France24.
En 2014, il reçoit le Prix Albert Londres pour son travail sur « La guerre de la polio ». Il a dû fuir le Pakistan après avoir survécu à une tentative d’assassinat perpétrée supposément par les services militaires du pays afin d’en finir avec ses reportages d’investigation. Taha Siddiqui aime voyager et particulièrement à Marseille qui lui rappelle Karachi, sa ville de cœur. Vous pouvez le retrouver sur Twitter @TahaSSiddiqui.